19 juin 2017

Enfin elle marche !









Allons, allons pas de triomphalisme, pourvu que ça dure surtout...

Comme précisé dans l'article précédent, les vitesses montaient à grand peine et un peu en vrac et ne descendaient pas.
Il a fallu rouvrir le carter découvrant le mécanisme de sélection.
Je vous passe la vidange, les démontages divers. Le mécanisme et l'axe sont là, superbes et apparemment en état et pourtant...
Pour commencer je change l'axe dont le ressort semble faiblard par rapport au nouveau : toujours pareil les vitesses ne passent pas, c'est même pire, plus rien ne passe !
Je vérifie donc minutieusement les petits éléments de verrouillage des vitesses et j'ai l'impression que la fourchette ci-dessous est légèrement, oh très légèrement déviée.


Avis identique de Patricia et bien sûr de mon commis. On change tout ce barda, fourchette, cuvette de coulissement et vis centrale. J'ai ça en magasin.
Une fois tout en place eh bien figurez-vous que ça fonctionne "à blanc".
C'est tout joyeux que je remonte l'embrayage, mais c'est sans compter sur une vis facétieuse qui au blocage (pourtant parcimonieux) casse son logement dans la noix.


Il n'y a plus qu'à ressortir les disques et changer cette noix que, comme d'habitude j'ai en magasin !

Maintenant on peut refermer, remonter tous les périphériques, mettre en huile et aller faire le tour du lotissement pour confirmer le bon fonctionnement.
Les vitesses montent et descendent avec douceur après quelques réglages de hauteur du sélecteur.

CONTENT !

Il restera à changer le joint du carter d'alternateur qui suinte beaucoup. Il avait six ans et n'avait pas roulé je l'avais donc gardé : erreur, d'autant que des joints, j'en ai...
Pour ce faire il a fallu une petite dizaine de minutes, pas besoin de vidanger pour ce côté,
dorénavant ça ne fuit plus.

La moto est prête, enfin pas tout à fait, il reste la selle à finir.
En attendant, séance photos, ne boudons pas notre plaisir.

Joli moteur, mais le bougre m'en a fait voir, un petit peu.


La moto est très fine, et dire que nous roulions à 150 avec ce machin !



Ses profils sont flatteurs. Le bleu sardine paraît plus sombre que dans la réalité. 
Je n'aurais pas choisi cette teinte en neuf, mais comme la prochaine sera candy red, il eut été dommage de ne pas la faire comme ça.



Sur cette photo, le lecteur observateur aura remarqué que le moyeu arrière a conservé son vernis vieilli d'origine. C'est évidemment un choix délibéré, pas la flemme (!).
J'aime les motos dans leur jus, pas les épaves rouillées passées au Rustol, mais les motos qui ont 48 ans et paraissent avoir été parfaitement entretenues.



Elle fonctionne, la preuve en images animées, vidéo quoi !

                                          

En guise de clap de fin voici les photos avec la selle terminée et montée évidemment !
Cette selle lui va beaucoup mieux que le modèle lisse des k0 je trouve. Est-ce la couleur ?

Aujourd'hui quelques kilomètres pour vérifier que tout est en ordre, mais les températures de dingue n'incitent pas à rouler d'une part et sont néfastes pour ces vieux moteurs refroidis par air d'autre part.






La voici en compagnie d'une de ses soeurs, la plus jeune et la plus grande !



Il est temps maintenant de refermer ce chapitre restauration. J'ai un très gros pincement au coeur.
En effet tout a commencé à Noël 2010 six ans et demi quand même,
ça a quasiment été ma première vraie restauration.
Une magnifique aventure qui est loin d'être terminée, puisque j'ai en cours une 350 k0 de 68 et un cyclo P50 à terminer également et ce, sans compter une 350 k3 de 72
ainsi qu'une 125 sl qui dort en cartons...
Non, le pincement c'est ce temps qui est passé si vite, trois déménagements, les enfants loin et les photos témoins péniblement objectifs de l'âge sur les visages.
De fait ce soir j'ai un peu le bourdon, sans trop savoir pourquoi...

Il faut que je remercie mes fidèles lecteurs, Patricia pour son aide bienveillante, mon petit commis pour sa présence rassurante et ses bisous dans le cou dès que je m'accroupis...
Sans oublier Alice sans qui ce blog n'existerait pas et dont je sais la lecture régulière et l'aide efficace.
Enfin toutes mes amitiés à Gilles pour ses encouragements réguliers, lui qui suit tout ça depuis le premier jour sans faillir !
Au plaisir de te voir en juillet Gilles...

Je vous donne rendez-vous sur le blog de la k0 :

http://restauration-cb350-k0.blogspot.fr/2014/

et/ou plus généralement sur le site complet :

http://www.restauration-motos.com/

12 juin 2017

juin 2017 suite...










On aurait pu titrer aussi bien : le redémarrage.

Pourtant ça partait mal, aucun allumage, pas d'étincelle, rien, nada.
Alors aidé par mon fidèle commis...




je teste tout méthodiquement : les bougies, rien, j'essaie un contacteur général de rechange, toujours rien, je mets une autre bobine : en vain.


Je reprends le réglage de l'allumage et me rends compte que les rupteurs ne reçoivent pas de courant.
Il s'agit donc d'un souci de branchement ou de contact.
On vérifie de nouveau tout ce qui est apparent.
Les bobines ne reçoivent aucune tension, j'ouvre alors le phare pour voir...
La surprise est là sous la forme d'un fil de masse débranché !

On referme tout, la moto dehors, la nourrice branchée, un coup de démarreur et roule ma poule
enfin pas encore tout à fait, mais ça tourne et bien.
Il n'y a plus le bruit d'axe de kick (heureusement), pour la boîte il faut voir en dynamique.





Demain si possible essai sur route afin de tester l'ensemble.

Pas d'essai aujourd'hui qui est le demain d'hier !..
Tout n'est pas terminé.
Les repose-pieds sont en place et le sélecteur réglé afin qu'il ait le moins de jeu possible. On ne peut faire mieux avec ce bel accessoire, ses biellettes prennent un jeu terrible
comme il est beau on lui pardonne.


Ensuite sur les conseils de mon commis, nous avons fixé les fils et câbles en essayant de trouver le cheminement le plus logique à défaut d'être le bon...


Une photo d'autosatisfaction :


J'ai posé le robinet d'essence après lui avoir changé les joints internes.
Le réservoir a ensuite trouvé son logement non sans mal et ce, à cause du mauvais cheminement de plusieurs gaines. Pour certaines il aurait fallu trop redémonter...
J'ai mis un coupleur séparateur de durite sous le réservoir. Il s'agit d'un petit ustensile qui permet d'enlever la durite de liaison des deux compartiments du réservoir sans filer de l'essence partout.
Je mettrai une photo.
Ci-dessous, la selle est positionnée pour la photo.


Ci-dessous, on voit à l'endroit la selle qui était sur la moto, c'est une k0 recouverte et, à l'envers une k1/k2 d'origine à restaurer : c'est celle que je monterai.
Elle nécessite un renforcement de la tôle, une peinture et une housse neuve puisque j'en ai acheté une.
Il s'avère que la housse quoique marquée de deux accrocs est en bon état, 
elle aurait pu être conservée.



Enfin montage des filtres à air et branchement des carburateurs avec des durites neuves évidemment.



Mercredi soir un rapide point sur la situation, c'est simple, la moto est remontée, il ne reste que la selle conforme à poser. Il me faut la restaurer, c'est prévu dans les jours qui viennent.

L'essai sur route a permis de constater que tout fonctionne bien, pas de fuite. Elle freine mal mais ça c'est moi, incapable de régler convenablement le frein avant de mes motos. Il va vraiment falloir que quelqu'un me fasse une démonstration !
Enfin seules trois vitesses passent. Il me semble que c'est un souci de réglage de sélecteur mais ce n'est pas sûr. Ce problème existait avant le démontage. Par précaution j'ai changé le barillet et les fourchettes de sélection. Toutefois je n'ai pas changé l'axe de sélecteur qui semblait intact. Si ça se trouve c'est lui qui glande...
Ce n'est pas difficile à changer, mais il faut ouvrir le carter d'embrayage et cela demande quelques démontages préalables.

La voilà :



Mon petit commis sans qui rien ne pourrait se faire !



Maintenant une sorte d'avant/après, la k0 que j'ai commencée l'an dernier et stoppée par le déménagement et la 250 k2...


Je vais pouvoir reprendre la k0...

Jeudi je me rends compte que j'ai peut-être parlé un peu vite là au-dessus !

En réglant le frein avant, j'ai pu procéder à un essai plus poussé sur route. Si la moto freine, il est apparu un dysfonctionnement de la boîte. D'une manière générale, seules les trois vitesses passent, il en manque deux... puis j'ai les cinq, puis impossible de descendre les rapports...
Tout ceci étant aléatoire.
Le réglage du sélecteur semble n'avoir aucune incidence.
C'était comme cela avant et c'est pour cette raison que j'ai changé le barillet de sélection. Il va falloir rouvrir le carter, sortir l'embrayage et changer la tige de sélecteur avec son mécanisme. Elle est la seule pièce à ne pas avoir été changée.

En attendant je me suis mis en selle et il y a du boulot sur la selle !

Oxydation généralisée d'abord :





Housse sentant la fatigue ensuite.


Après avoir dégrafé la vieille housse,
ponçage, traitement au Rustol et réparation de deux fentes, là où toutes les selles des 350 se fendent.



Remise en état du jonc chromé du tour de selle qui était souffrant sur plusieurs endroits. Il s'agit d'un métal tendre et fin. J'ai travaillé à l'étau doucement et patiemment. Il a repris sa forme, les traces inévitables sur le chrome demeureront.


Voici le dessous prêt à peindre.


Ici la housse posée à blanc afin de vérifier la forme.


Lundi 19 malgré la grosse chaleur (38°) j'ai pu peindre le dessous de selle après l'avoir apprêté et posé une couche de noir antirouille.
Il faut jongler avec le thermomètre car la peinture ne supporte pas ces chaleurs.
Il reste la housse à poser, 
mais en parallèle, se fait le travail sur le moteur (voir l'article suivant).



Un bon moyen de perdre trois kilos sans bouger : poser une housse de selle dans l'atelier au fond du jardin par 38° à l'ombre... en plus c'est plaisant !
Le résultat n'est pas trop moche, heureusement.



Il me reste à reconstituer la sangle avec ses renforts métalliques, poser la baguette, les caoutchoucs, la charnière et la béquille.

Mercredi la selle est fin prête. Housse posée, bien tendue, sangle en place et aussi le jonc chromé du tour, ce qui ne fut pas une mince affaire !..
Le résultat est "sympa".




05 juin 2017

Juin 2017 on remonte tout...








Coucou tout le monde !


Juin, l'été approche et les beaux jours avec. Nous espérons bien -mon commis- et moi rouler sur cette moto avant l'arrivée des hordes sauvages.
Les hordes sauvages, ce sont les estivants qui déferlent sur la côte Atlantique... Je rigole évidemment, il en est de très bien élevés, la plupart même !

En attendant, nous rentrons des coupes Moto Légende. Trois ans que nous n'étions pas montés en Bourgogne. On a trouvé que la formule s'essouffle, moins de boursiers, moins de spectateurs, moins de pilotes de renom, moins de motos d'exception, moins de tout quoi...
Seuls les prix ne s'essoufflent pas, 2,50€ la toute petite bouteille d'eau de source !
Pas déçus mais restés sur notre faim. De plus l'accueil est toujours aussi sommaire pour tous ceux qui campent sur place. Ce n'est pas compliqué, il y a un grand pré en pente et c'est tout. Ce n'est pas le top pour passer trois jours surtout avec 33°. Nous sommes autonomes avec notre camping-car, mais ce n'est pas le cas de tous, et ceux qui sont sous la tente manquent cruellement de sanitaires, 
les filles surtout...  Les environs du circuit manquent de capacité d'accueil, le peu qu'il y a est complet plusieurs mois à l'avance.
Les séries enfin ont évolué avec l'apparition de motos hyper rapides, résultat : finies les démos, place à la course. Beaucoup roulent comme des "chtarbés" et on ne voit plus rien...

Du coup je n'ai pas ramené beaucoup de photos nouvelles, rien du moins qui puisse intéresser ce blog, hormis ma préférée moto la cb 77 :


Quelques mignonnes petites cylindrées :



et toujours de superbes anglaises :




Enfin une rareté, la Kawa W 650 :



Revenons à la nôtre ! Son moteur a retrouvé sa place dans le cadre
étonnant non ?

Pour ce faire il est préférable d'être deux. Celui qui positionne le moteur aura du mal à glisser en même temps les goujons maintenant le moteur.


Sur cette photo, le moteur est fixé, quatre boulons et deux supports hauts.


Il ne reste plus qu'à le compléter, ya qu'à quoi !..


Le démarreur nécessite une nouvelle peinture


qui est réalisée aussitôt :


Le démarreur est mis en place,


son câble suit un cheminement prédéfini


facile à suivre grâce aux crochets prévus.


Il remonte sous le bac batterie.


Le mécanisme de sélection est simplement emboîté, sa fourchette s'enclique sous le barillet de sélection. J'ai changé la vis en bout de barillet, mais la nouvelle - seule disponible - ne convient pas et la fourchette ne trouve pas sa place.


Il a donc fallu remonter la vieille vis à la tête très abîmée.


Nous remontons la pompe à huile avec la cloche d'embrayage, les deux étant intimement liées.
Ne pas oublier de bien brider la pompe.
Mon kit complet de joints moteur ne comportait pas celui de la pompe, ni plusieurs autres toriques d'ailleurs. Complet... faut le dire vite !
Il faut donc récupérer les vieux joints lorsque cela est possible.


La cloche en place


Le circlip, important le circlip...


Les disques sont empilés un à un dans l'ordre inverse du démontage, on a tout intérêt à ne pas les mélanger au démontage.
La butée de la tige d'embrayage est posée.


Voici l'ensemble en place :



Il est temps de passer de l'autre côté du moteur.
Nous vérifions le rotor, galets et ressorts internes de la roue libre.
L'encoche visible à l'intérieur sert de guide pour le montage du rotor.


Le pignon de roue libre est mis en place avec la chaîne et le pignon de démarreur évidemment.
On voit sur cette photo le guide en relief qui correspond à l'encoche du stator.


Et voilà le travail. Nous avons aussi glissé la tige de poussée d'embrayage.


Ici pose du contacteur de point mort et du pignon de sortie de boîte.
Il n'est pas rouillé, c'est la photo !


Le joint de carter :


La pose du stator d'alternateur : le câble d'alimentation suit lui aussi un cheminement guidé par un crochet et un passe-fils.


Enfin, j'ai dû refaire les connexions du câblage d'alternateur. Tout était bidouillé avec des cosses auto. Un connecteur japonais a remplacé tout ça.
Ce n'est pas l'origine, il est plus gros mais au moins c'est propre et sécurisé.
Il me faudra masquer ce plat de nouilles...


Hier jeudi la journée s'est écoulée calme et tranquille, le remontage avec...
Mais aujourd'hui ce fut une journée de con ! Vous savez cette journée qui commence bien, continue bien et se termine à la noix. Ce fut ça...

Au commencement on a continué le remontage.
Les carters fermés avec des vis neuves siouplaît !


Tout est nettoyé et poli à nouveau.


Les joints d'échappement sont remplacés par des neufs.


La pédale est mise en place, le ressort fut récalcitrant.


Le câble de frein neuf remplacera celui du dessous très fatigué.
Le nouveau ne comporte pas le témoin de stop intégré.



Le voici monté.


Les échappements habillent bien la moto, ils sont indispensables pour la mettre en marche.



Elle est descendue de sa table afin de pouvoir essayer le kick et la boîte.
Essais à blanc il va de soi.
C'est là que la bât blesse ! 
Le kick d'abord. S'il fonctionne bien, il engendre un bruit de ferraille assez inquiétant. Evidemment la moto a été mise "en huile". 
La boîte ensuite. Les vitesses ne passent pas bien, Cela dit, sur la béquille c'est peu étonnant, même en gigotant la roue arrière, seules première et seconde s'enclenchent.
Alors je suis dubitatif ce soir...
Après réflexion, je décide de continuer et de tenter quand même le démarrage du moteur.


Donc sans me laisser abattre par l'adversité, je remonte les carbus. Auparavant j'ai changé tous les joints  desdits carbus, bien soufflé les trous et autres gicleurs, le top !
Les voilà en place avec, en ligne de mire, le redémarrage demain vendredi.


C'était sans compter sur la journée de m..... En mettant les câbles de gaz en place, le second se visse mal. Il est positionné de travers, c'est curieux. Je me rends alors compte que la patte recevant le bout du câble est cassée, désolidarisée du carburateur. 
Le zamac présente une paille interne, un trou en fait et, allié à la vieillesse ça a cassé. 
Résultat : probablement carburateur HS, en effet cet alliage ne se répare pas.
Pas grave j'ai des carbus d'avance, mais il faut redémonter, et préparer le remplaçant.
La mise en marche ce week-end s'éloigne...


Samedi, la nuit étant bonne conseillère je décide de réparer le carbu. Soudure à froid afin de refixer la patte supportant le câble d'accélérateur.
Si j'ai des carburateurs d'avance, en plus ou moins bon état et même pire (!)  ce sont des gauches... les seuls droits dispos sont pour les 250 avec des différences au niveau des puits de gicleurs.
Donc on répare en souhaitant que cela tienne :


Si ce n'est pas esthétique ça semble solide et puis, ce sera derrière, invisible.

Attaquons ensuite le branchement du faisceau électrique. A priori rien de difficile : le fil rouge avec le fil rouge et le jaune aussi...
Sauf que là certains éléments ont été changés et les fils avec. Du coup tout ne correspond pas à 100% notamment pour les clignotants et pour certaines masses.
Avec un peu de réflexion on y arrive.


La preuve :


Nous procédons aux essais avant de tout refermer. TOUT marche y compris le démarreur, le klaxon, les stops... Seuls les clignotants gauche vont à toute vitesse
 et le témoin de stop reste désespérément éteint.
Le témoin doit être mal positionné, à voir demain.
Les clignos, c'est un problème d'ampoule, c'est typique et, en effet il y a une ampoule 18v alors qu'il faut des 10v.
C'est ce clignotant raide de neuf, acheté en bourse qui était en cause. Ampoule 10w et clic clic.


On peut fermer :


Reste à faire deux photos avant de rentrer la moto.


Elle commence à avoir belle allure je trouve...


Concernant le moteur, j'ai pensé hier soir que la mise en huile n'avait pas été ce qu'elle aurait dû être.
Ce matin donc, huile dans les trous de bougies et kick sans les bougies, ça fonctionne et bien même. Les vitesses à blanc passent mal, mais c'est assez normal, seule la mise en marche permettra de se faire une idée... si tout n'explose pas !

Dimanche jour de vote et jour de repos. Il fait chaud et beau, je décide donc de ne pas casser les outils et de faire un travail gratifiant :
la préparation de la carrosserie.

Il faut faire rentrer le caoutchouc dans le petit trou...


On y arrive, la preuve :


Les logos trouvés sont magnifiques, des rosaces neuves et hop !


Vue pile


Vue face
 

Le réservoir et son gréement,


Je trouve ça joli, c'est le principal.